Le visage, partie de l’être le plus facilement visible, bénéficie d’une certaine suprématie par rapport au reste du corps. On peut voir s’y refléter les sentiments, les comportements psychologiques et physiologiques ainsi que des affections du corps.

• Les sens y siègent et le toucher y est particulièrement développé.

 

Le visage est parcouru par des réseaux de circulation sanguine, de fibres nerveuses et de méridiens d’acupuncture, dont la densité n’a d’équivalent dans aucune autre partie du corps.

• C’est la partie la plus sensible et la plus représentative de la globalité de l’être. La médecine orientale attribue au visage une grand concentration du caractère yang. C’est la seule partie du corps qui résiste au froid et on y localise l’extrémité de nombreux méridiens.

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Le DIEN CHAN

C’est en 1980 que Bui Quôc Châu découvre les bases d’une technique appelée le Dien Cham car il la pratiquait avec des aiguilles d’acupuncture.

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• A partir de 1982, il a commencé à utiliser le mot Dien Chan dans la mesure où il a abandonné les aiguilles.

• Il souhaite aider les personnes en leur permettant de se traiter eux-mêmes et il met au point des outils au nombre de 90 aujourd’hui. Les doigts peuvent aussi être un outil efficace en utilisant, par exemple, le pouce replié avec lequel on masse, tapote ou encore frictionne selon les régions.

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Les stimulations de la peau se font grâce à des instruments spécifiques conçus par le Dien Chan. Ils sont divisés en catégories, les yin et les yang selon leur forme et le matériau utilisé.